"Dans la continuité de la réunion qui s’est tenue le 21 septembre dernier en présence des représentants du monde de la mer : surfeurs, professionnels de la pêche et du tourisme, les élus (à l'exception de l’opposition/ groupe Alliance) ont voté une enveloppe de 25 000€ en faveur de la Ligue réunionnaise de surf pour l’équipement de deux sites en dispositifs anti-requins (shark shields).
Une décision importante et urgente pour apporter une première réponse aux risques d'attaques mortelles de requins. La subvention régionale permettra l’acquisition d’une trentaine d’appareils qui seront installés sur des bouées reliées par un cordage et placées tous les 14 mètres.
L’installation de ces shark shields qui émettent dans un rayon d’action de 7 mètres des fréquences électromagnétiques qui repoussent les requins a pour objectif de délimiter une zone sécurisée pour la pratique des activités sportives et des loisirs nautiques.
La gestion de ce dispositif dont les batteries ont une autonomie de 5 heures nécessitera par ailleurs des rotations pour le remplacement dans la journée des appareils déchargés.
Au-delà de cette solution d’urgence financée par la collectivité régionale, la Commission permanente a insisté sur une nécessaire collaboration avec l’Etat et les communes concernées pour garantir la sécurité des personnes".
Une décision importante et urgente pour apporter une première réponse aux risques d'attaques mortelles de requins. La subvention régionale permettra l’acquisition d’une trentaine d’appareils qui seront installés sur des bouées reliées par un cordage et placées tous les 14 mètres.
L’installation de ces shark shields qui émettent dans un rayon d’action de 7 mètres des fréquences électromagnétiques qui repoussent les requins a pour objectif de délimiter une zone sécurisée pour la pratique des activités sportives et des loisirs nautiques.
La gestion de ce dispositif dont les batteries ont une autonomie de 5 heures nécessitera par ailleurs des rotations pour le remplacement dans la journée des appareils déchargés.
Au-delà de cette solution d’urgence financée par la collectivité régionale, la Commission permanente a insisté sur une nécessaire collaboration avec l’Etat et les communes concernées pour garantir la sécurité des personnes".
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